Entre mars et juin 2016, La Ville en Commun organisait un séminaire consacré au financement des transformations urbaines.
Il s’agissait d’explorer comment les pouvoirs publics et les citoyens peuvent encore être les garants d’une ville ouverte et accessible, alors que le marché tend à en devenir l’acteur dominant.
Ce séminaire, nourri d’auditions de professionnels et de chercheurs, a donné lieu à la rédaction d’une Analyse de quatre circuits de financement de la production urbaine.
L’intérêt d’une “cartographie des pouvoirs”
Derrière ce travail analytique et expérimental, traversé de points de vue multiformes, il s’agit de voir s’il est possible de transcender la gestion de la chose publique territoriale au travers de l’instauration de nouveaux processus démocratiques sortant des cadres usuels.
Peut-on fonder des politiques locales sur le concept de dignité ?
Un groupe de travail est constitué pour défricher une question aux multiples entrées et lancer en parallèle, un approfondissement théorique de la notion de “dignité”, une observation des situations vécues, un inventaire des pratiques territoriales.
La recherche de méthodes originales
Notre ambition est de dépasser les barrières existantes concernant les divers statuts : élu, responsable administratif territorial, chercheur, dirigeant associatif…, et à garder le plus possible le contact avec les habitants concernés et avec des réalités concrètes.
Pourquoi La Ville en Commun ?
A l’occasion de l’AG du 24 juin, ce texte rappelle les raisons de la création de La Ville en Commun et réaffirme l’ambition de redonner du sens commun à des politiques territoriales affichant une volonté transformatrice en faveur d’un progrès social, environnemental et économique ainsi qu’à une citoyenneté engagée.